Introduction

Avant-propos Toute la louange appartient à Allah, que la miséricorde et le salut soient sur notre Prophète Muhammad, sur sa famille et tous ses compagnons.Allah (y) dit :" Ô hommes ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez. Le plus noble d’entre vous, auprès d’Allah, est le plus pieux" .( Sourate 49 : Al-Hujurât, verset 13.)

Les droits généraux de la femme en Islam

La femme est semblable à l’homme en matière de responsabilité vis-à-vis des lois islamiques : lorsque les conditions de la responsabilité sont remplies elle est astreinte aux mêmes obligations que l’homme en termes de prière, de zakât, de jeûne et de pèlerinage. La seule différence est qu’elle bénéficie, par la volonté du Législateur, de certains allègements .

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Le statut de la femme à travers l’histoire

D’autres en revanche enterraient leurs filles vivantes par crainte de pauvreté, il s’agissait des plus démunis. Le Qur’an a exprimé cela en ces termes : Et ne tuez pas vos enfants par crainte de pauvreté ; c’est Nous qui attribuons leur subsistance, tout comme à vous. Les tuer, c’est vraiment, un énorme péché. (Sourate 17 : Al-Isrâ, verset 31.)

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Ses droits en Islam en tant qu’être humain

L’Islam réserve une double récompense au musulman qui fait du bien à ses proches, comme le dit le Prophète (s) : « L’aumône faite à un pauvre est une aumône unique et elle est une double aumône lorsqu’elle est faite à un proche parent : elle vaut une aumône et un respect du lien de parenté ».( Ibn Khouzaïma (3/278), hadith n° 2067.) Lire la suite +

Ces derniers temps, de plus en plus de voix s’élèvent pour réclamer un changement du statut de la femme, afin qu’elle acquière des droits, accède à la liberté et soit enfin l’égale de l’homme. Il se peut que ces revendications soient justifiées dans certaines sociétés qui ne sont pas équitables envers les femmes et nient leurs droits, mais lorsque l’on accuse la société islamique de pareille injustice alors que c’est elle qui a reconnu la première des droits à la femme et lui a accordé sa liberté avant même qu’elle ne la réclame, le bât blesse.

Oumar ibn Al Khattâb a dit :« J’en jure par Allah, nous n’accordions pas de valeur aux femmes dans la Jahiliyya, jusqu’à ce qu’Allah révélât à leur sujet ce qu’Il révéla et leur accordât et ce qu’Il leur accorda.». ( Mouslim (2/1108), hadith n° 1479.)